Comment améliorer cet accès au crédit ?
C’est en effet une question que s’est posé un groupe de professionnels. « « Dans le modèle français d’octroi de crédit, la mesure de la capacité de remboursement de l’emprunteur dans la durée est un élément très important. » souligne Bruno Deletré, DG du Crédit Foncier. La stabilité professionnelle est donc très importante tout c’est pourquoi ces profils représente un risque élevé.
Une réforme du mode de calcul du taux de l’usure a été pensée. Dans un contexte actuel ou les taux sont faibles, la séparation entre le taux dit « normal » et le taux d’usure et devenu trop faible. Il devient donc compliqué voire impossible pour une banque de mettre en place une prime de risque suffisante à un préteur.
C’est là qu’intervient la proposition de taux d’usure comprenant « une partie fixe de l’ordre de 100 à 150 points de base » qui s’ajoute à la moyenne des taux dans une période de taux relativement faible.