D’après le dernier sondage réalisé par OpinionWay en Janvier 2021, 40 % des Français ont eu recours à un courtier pour leur crédit immobilier en 2020. Une part de marché qui s’élève à 65 % chez les 18-34. Si l’année 2020 a laissé entrevoir quelques tensions entre banquiers et courtiers, CREDIXIA souhaite éclairer sur l’aspect complémentaires de ces deux métiers.
Banque et courtier, un partenariat pour le consommateur
Gain de temps : Le rôle du courtier consiste à prendre en charge (à la place du client), les démarches de recherche de financement, la prospection et la négociation auprès des banques lors d’un achat immobilier. Grâce à leurs relations privilégiées et leurs sens aiguisé du secteur, courtier et banquier entrent en relation pour réaliser la meilleure proposition de financement au client, dans des délais réduits.
Gain d’argent : Le courtier va, dans l’intérêt du client, rechercher le partenaire bancaire qui proposera les taux les plus avantageux, et les conditions de prêts les plus adaptées au dossier. Dans cette logique de gain d’argent, la banque et le courtier vont s’entretenir pour proposer les meilleures conditions de crédit et le meilleur taux en tenant compte des particularités du dossier.
Une collaboration lucrative pour les deux parties
La collaboration entre courtier et banquier se révèle avantageuse à la fois pour le consommateur qui économise sur le coût de son crédit, ainsi que pour les deux parties prenantes puisque ces deux acteurs s’apportent mutuellement des revenus à chaque collaboration.
En tant qu’apporteur d’affaires, le courtier va amener son client vers une banque qui va automatiquement gagner de l’argent sur le crédit contracté grâce aux taux d’intérêt (négociés au préalable par le courtier), ces intérêts se couplent de gains potentiels liés aux produits annexes proposés par la banque (carte bleue, compte épargne…). Exemple : pour un prêt de 200 000 € et un taux négocié par CREDIXIA à 1,20% sur 20 ans, la banque touchera des intérêts à hauteur de 25 059 € si le client conserve son crédit jusqu’à la fin. En moyenne, un emprunteur français conserve son crédit pendant 7 ans, donc la banque touchera 14 156 € d’intérêts.
En contrepartie, la banque, elle, va verser une « commission» au courtier. En moyenne, le courtier perçoit une commission plus ou moins égale à 0,5% du montant du prêt et, plafonnée en fonction de la banque partenaire (en moyenne 3000 €). Exemple : pour un prêt d’un montant de 200 000 €, le courtier touche une commission de 1 000 €. Il faut noter que cette commission est totalement transparente pour l’emprunteur, et ne détermine pas le taux appliqué dans l’offre de prêt.
Peut s’ajouter à cette commission bancaire, les frais de courtage versé par le client au courtier. Si nous prenons le cas du courtier CREDIXIA, un particulier payera 950 € de frais de courtage. Il s’agit des frais de courtage les moins chers du marché !