Pendant de nombreuses années, les banques ont détenu le monopole du marché de l’assurance de prêt ou assurance emprunteur, cette garantie qui permet de sécuriser le remboursement d’un crédit immobilier à la banque en cas de décès, d’invalidité ou d’incapacité de l’emprunteur.Depuis 2010, le marché s’est libéralisé à la faveur de trois lois. Vous pouvez désormais opter pour le contrat proposé par la banque qui finance votre projet d’acquisition ou pour un contrat externe de votre choix.Selon le courtier en prêt immobilier Credixia, l’assurance de prêt peut parfois représenter presque un tiers du coût total du crédit.En faisant jouer la concurrence, vous pouvez faire de belles économies sur votre contrat d’assurance : dans certains cas jusqu’à 15 000 € sur la durée du prêt immobilier, d’après le comparateur d’assurance emprunteur Magnolia.fr. Loi Lagarde : le droit de choisir l’assurance emprunteur de votre choix Depuis 2010 avec la loi Lagarde, dans le cadre d’un crédit immobilier, les banques prêteuses ne peuvent plus imposer à l’emprunteur d’adhérer au contrat d’assurance de prêt qu’elles commercialisent.Vous pouvez retenir l’assurance emprunteur de votre choix dès lors qu’elle présente des garanties équivalentes à celles de la banque (si ce n’est pas le cas, elle peut refuser de résilier votre contrat). Loi Hamon : la possibilité de changer de contrat dans l’année suivant sa signature En 2014, une nouvelle arme législative vient renforcer le droit de l’emprunteur de délier son assurance de prêt de son crédit immobilier en lui offrant la possibilité de changer de contrat durant la première année suivant la signature de son offre de prêt.
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